DAVID SEYMOUR
Editeur : CONTREJOUR
Année de parution : 2014
David Seymour dit Chim fut avec Henri Cartier-Bresson et Robert Capa l’un des fondateurs de la prestigieuse agence Magnum en 1947.
Ce livre est la première monographie et biographie consacrée à ce photojournaliste hors du commun que l’auteur porte enfin à la lumière après être demeuré longtemps dans l’ombre de ces deux figures devenues mythiques.Sur près de cent cinquante pages de textes accompagnées d’une centaine de pages de photographies, l’ouvrage retrace sa carrière, mais aussi illumine certains aspects de sa vie privée qui n’étaient pas connus jusqu’à la découverte récente de plus de six cents documents dans l’appartement de son neveu Ben Shneiderman.Ce livre tisse les liens entre l’homme et l’époque, retraçant l’itinéraire d’un intellectuel exilé et son engagement politique à gauche durant les débuts du Front Populaire puis la Guerre d’Espagne où il s’engage pour les Républicains aux côtés de Robert Capa, Gerda Taro, et de nombreux correspondants européens et espagnols en publiant ses images dans les grands magazines de l’époque comme Regards, Life, Vu ou Illustrated. Choisissant de porter son attention sur les plus vulnérables, il photographie les enfants victimes de la Seconde Guerre Mondiale pour l’Unicef puis, en Italie, les paysans dans une approche néoréaliste.Après 1949 et pendant les sept courtes années qui lui restent à vivre, Chim travaille à une vitesse folle, évitant le terrain de la Shoah où il a perdu tous ses parents et amis pour passer de plus en plus de temps en Grèce et en Italie, notamment à Rome où il couvre le milieu des arts, des lettres et du cinéma avec ses multiples portraits de personnalités.Mais pas plus que ses amis Capa et Bischof il n’atteindra le grand âge. Un jour de novembre 1956, juste après le cessez-le-feu, Chim et son collègue Jean Roy sont fauchés par une rafale de mitraillettes égyptiennes
Ce livre est la première monographie et biographie consacrée à ce photojournaliste hors du commun que l’auteur porte enfin à la lumière après être demeuré longtemps dans l’ombre de ces deux figures devenues mythiques.Sur près de cent cinquante pages de textes accompagnées d’une centaine de pages de photographies, l’ouvrage retrace sa carrière, mais aussi illumine certains aspects de sa vie privée qui n’étaient pas connus jusqu’à la découverte récente de plus de six cents documents dans l’appartement de son neveu Ben Shneiderman.Ce livre tisse les liens entre l’homme et l’époque, retraçant l’itinéraire d’un intellectuel exilé et son engagement politique à gauche durant les débuts du Front Populaire puis la Guerre d’Espagne où il s’engage pour les Républicains aux côtés de Robert Capa, Gerda Taro, et de nombreux correspondants européens et espagnols en publiant ses images dans les grands magazines de l’époque comme Regards, Life, Vu ou Illustrated. Choisissant de porter son attention sur les plus vulnérables, il photographie les enfants victimes de la Seconde Guerre Mondiale pour l’Unicef puis, en Italie, les paysans dans une approche néoréaliste.Après 1949 et pendant les sept courtes années qui lui restent à vivre, Chim travaille à une vitesse folle, évitant le terrain de la Shoah où il a perdu tous ses parents et amis pour passer de plus en plus de temps en Grèce et en Italie, notamment à Rome où il couvre le milieu des arts, des lettres et du cinéma avec ses multiples portraits de personnalités.Mais pas plus que ses amis Capa et Bischof il n’atteindra le grand âge. Un jour de novembre 1956, juste après le cessez-le-feu, Chim et son collègue Jean Roy sont fauchés par une rafale de mitraillettes égyptiennes
Lettre d’information
75004 Paris – France
+33 (0)1 42 74 26 36
ouverture du mercredi au samedi
de 13h30 à 18h30. Entrée libre
M° Rambuteau – Les Halles
Pour Que l’Esprit Vive
Association loi 1901 reconnue d’utilité publique
Siège social :
20 rue Lalande
75014 Paris – France
T. 33(0)1 81 80 03 66
www.pqev.org
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