Sponsor : Une exposition proposée par Camilo Racana
Exposition : 17/02/2005 au 09/04/2005
Du mercredi au samedi de 13h30 à 18h30
Galerie FAIT & CAUSE
58 rue Quincampoix, 75004 Paris - Tél. +33 (0)142742636
La “Villa 15” – plus connue sous le nom de “Ciudad Oculta” (Ville Occulte) – est la conséquence du chômage croissant provoqué par la crise politique et sociale qui frappe l’Argentine. Elle doit son nom au mur qui l’entoure, érigé pour cacher la pauvreté : ce qui ne se voit pas n’existe pas.
Un vieil hôpital abandonné avant la fin de sa construction est devenu le symbole de la « Ciudad Oculta ». Il abrite une petite salle de soins d’urgence. A ses alentours, les baraques les plus pauvres – des logements abritant jusqu’à dix personnes – se multiplient. Des nombreuses familles vivent, entre les décombres, sans protection aucune contre le danger ou les intempéries, tentant de veiller à l’éducation de leurs enfants. Malheureusement, ils échouent le plus souvent face à la délinquance, au trafic et à la consommation de drogues. Las d’être les laissés pour comptes d’une société qui les marginalise, ils consacrent leurs forces à la création de centres éducatifs et de restaurants communautaires. Ils reçoivent occasionnellement de l’aide d’organisations internationales.
L’atelier « Contraluz » est une des activités de la garderie « La Buena Voluntad » dirigé par Cielo Chaile. Elle rassemble 14 jeunes issus de la « Villa 15 », qui travaillent et s’expriment à travers la photographie. Des petits philosophes et poètes, qui affirment et signent, avec la lumière, leur convictions, leurs rêves, leurs opinions et leur talent.
Un vieil hôpital abandonné avant la fin de sa construction est devenu le symbole de la « Ciudad Oculta ». Il abrite une petite salle de soins d’urgence. A ses alentours, les baraques les plus pauvres – des logements abritant jusqu’à dix personnes – se multiplient. Des nombreuses familles vivent, entre les décombres, sans protection aucune contre le danger ou les intempéries, tentant de veiller à l’éducation de leurs enfants. Malheureusement, ils échouent le plus souvent face à la délinquance, au trafic et à la consommation de drogues. Las d’être les laissés pour comptes d’une société qui les marginalise, ils consacrent leurs forces à la création de centres éducatifs et de restaurants communautaires. Ils reçoivent occasionnellement de l’aide d’organisations internationales.
L’atelier « Contraluz » est une des activités de la garderie « La Buena Voluntad » dirigé par Cielo Chaile. Elle rassemble 14 jeunes issus de la « Villa 15 », qui travaillent et s’expriment à travers la photographie. Des petits philosophes et poètes, qui affirment et signent, avec la lumière, leur convictions, leurs rêves, leurs opinions et leur talent.