Hien Lam Duc. Il a connu la faim et les coups. Il a connu les camps , l’exil, l’humiliation. Et puis la France, où il apprend la liberté et le français. Et un autre language, la photographie. Alors il parcours le monde. Il va où ça brûle. Où on tue pour un non, pour un rien.

Et quand il est de retour, il rend visite à ces vieilles personnes, seules et tristes. On lui dit qu’elles ont besoin d’aide. Alors, il est là, discret ému. Il sait.

Michèle Debordes. Elle pourrait n’être qu’un des écrivains les plus talentueux de sa génération.
Mais elle connait ce monde de l’isolement, l’abandon des fin de vie. L’émotion est là aussi, sous chaque mot.